Communiqué de presse de l’association féministe italienne « Se non ora quando? Libere! » organisatrice de l’événement.
La conquête de la liberté de choix pour les femmes a été un changement d’une portée énorme. Ce changement a permis  à la maternité, toujours reléguée au cadre domestique et repoussée aux marges de la société, de rejoindre le centre de la vie sociale et de redessiner les frontières d’une nouvelle idée de la liberté. Mais cela n’est possible qu’à la condition de ne pas priver la maternité de son sens humain et de ne pas la réduire à une fonction matérielle, biologique. Or, c’est ce qui arrive dans la pratique de la maternité de substitution ou « GPA » (gestation pour autrui).
C’est la raison de  notre engagement contre une telle pratique.

Participeront aux assises, entre autres, les ministres Anna Finocchiaro et Beatrice Lorenzin, les députés Fabrizia Giuliani, Vannino Chiti, Silvia Côte, Mara Carfagna, Eleonora Cimbro, Milena Santerini, Elena Centemero, Maria Lierre Espadons, la vice-présidente de l’assemblée nationale française Laurence Dumont, organisatrice des 1ères Assises pour l’Abolition Universelle de la GPA le 2 février 2016, la philosophe Sylviane Agacinski, membre du Collectif pour le Respect de la Personne, Susanna Tamaro et Cristina Comencin.